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Yoh Ju suffoque sous sa PAL !
10 février 2020

Bleu Calypso

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  Niels a quitté la vie et la folie parisienne pour s'installer dans une petite cabane sur l'étang de Moures, près de Sète. Et il s'en sort plutôt pas mal à fabriquer des leurres pour la pêche et, si son commerce n'est pas florissant, il lui permet de vivre sa petite vie d'ermite entre pêche, bonne bouffe et les visites de son ami, le Vieux Bob, qui vit tout aussi paisiblement qu'un ours dans sa caverne.

  Mais après quelques années de tranquillité, la vie de Niels finit par basculer. Alors qu'il est sur l'étang pour essayer un nouveau leurre de sa fabrication - baptisé Bleu Calypso - la découverte d'un cadavre va tout changer car c'est le troisième qu'on extrait de ces eaux.

  Embarqué malgré lui dans une enquête par une jeune journaliste intrépide, l'existence de Niels va se changer en maelström sanglant.

 

  La première fois qu'on m'a parlé de Bleu Calypso, on me l'a décrit comme un polar doux. Ma réaction : "Un polar doux ! Huh..."

  En lisant la quatrième de couverture, j'ai vu que cela parlait de pêche et, dès qu'on me parle de pêche, je pense avec nostalgie à feu mon tonton Riquet qui m'a confié ma première canne à pêche et au beau roman de Norman Maclean, La rivière du sixième jour. Cependant, je n'étais toujours pas convaincu, cette désignation, polar doux, me gênait aux entournures. Finalement, c'est Charles Aubert lui-même qui a fini par me donner envie de lire son livre quand il en a parlé à l'Apéro Polar des éditions Pocket. Je me suis dit que si le roman est à l'image de son auteur, calme, tranquille, posé, intéressant, ça valait le coup de le lire.

  Vous ne trouverez pas dans ce joli roman pléthore de passages d'action, mais de la contemplation, un état de grâce et, bien entendu, un mystère sanglant !

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