Jusqu'en enfer

  A Paris, le lieutenant Yann Braque de la P.J. enquête sur la mort d'une femme dont le crâne a littéralement explosé alors qu'elle s'adonnait à un jeu sexuel en ligne. Son autopsie va révéler une chose surprenante au sein de son cerveau.

  En Syrie, dans une planque de djihadistes, la capitaine Maxime Barelli des forces spéciales découvre une drogue inconnue qui développe la sauvagerie.

  Ces affaires que rien ne semble relier ont pourtant un point commun : Vivalia. Une entreprise française, high tech, qui tient la dragée haute à Google. Qu'est-ce que cette société peut bien trafiquer avec les cerveaux de leurs milliards de clients ?

  Préquel à Face Mort, Stéphane Marchand revient avec son nouveau roman et son personnage de Maxime Barelli et nous en apprend un peu plus sur son passé et ses démons qui la hantent.

  Comme dans le livre précédent, cela va à deux-cent à l'heure et là où certains personnages avaient paru creux, tous ici prennent une dimension appropriée. Maxime Barelli, magnétique et toujours au bord de la rupture, nous emmène dans une aventure où le nouveau territoire à coloniser pour les industriels et l'armée est notre propre cerveau, en chaire et en synapses.

  Un thriller palpitant encore une fois à mettre à l'actif de l'auteur, en espérant retrouver rapidement la capitaine Barelli.